Les enfants des rues n’ont pas non plus accès aux services de santé, sauf s’ils ont la chance de trouver un médecin privé qui offre ses services gratuitement.
La santé des enfants des rues n’est pas toujours bonne, victimes de maladies, de blessures ; ils ne peuvent pas consulter un médecin par manque de moyens. Ils n’ont pas de famille qui s’occupe d’eux et les protège des dangers de la vie dans la rue.
Le manque d’accès à des soins de santé de qualité signifie aussi que, de nombreux parents ne savent pas quels sont les meilleurs traitements pour leur enfant.
Ils peuvent se tourner vers des remèdes traditionnels, ou pratiquer l’automédication au lieu de demander l’avis d’un médecin, qui pourra leur prescrire les médicaments et les traitements appropriés. De nombreux cas ne sont pas détectés car personne n’a été formé pour les repérer suffisamment tôt dans leur développement. Cela signifie que, de nombreuses maladies telles que le paludisme, la pneumonie et la diarrhée ne sont souvent pas traitées jusqu’à ce qu’il soit trop tard et deviennent des conditions fatales pour les enfants de moins de cinq ans.
Certains pays manquent d’infrastructures de base telles que l’eau potable.
La santé inclus : le logement, la nourriture et le bien être.
Car,
La principale cause du manque d’accès aux services de santé est due à la pauvreté. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »
La pauvreté rend également difficile pour les familles de subvenir aux besoins nutritionnels de leurs enfants. Selon l’UNICEF : « La malnutrition causée par une alimentation de mauvaise qualité ou un manque de nourriture peut entraîner des dommages irréversibles qui peuvent durer toute la vie. » Les enfants qui ne reçoivent pas une nutrition adéquate au début de leur vie peuvent souffrir d’un retard de croissance, ce qui signifie qu’ils auront une taille inférieure à celle attendue compte tenu de leur âge. Ils ont donc moins de chances de réussir à l’école plus tard dans la vie et leurs chances de trouver un bon emploi lorsqu’ils seront grands. Cela augmente également le risque de surpoids ou d’obésité plus tard dans la vie.
Pour répondre à cela WAZAI est engagée à donner des soins ponctuels aux enfants de la rue : Distributions de kits d’hygiène, de la distribution de denrées alimentaires.
Ces deux actions sont le but du programme FURAHA.